Les objets volés les plus improbables

Si des vols ont lieu tous les jours, que ce soit des voitures, des TV, de l’argent ou autres objets plutôt communs sachez que certains objets auxquels on ne pense pas forcément ont été volés et pour certains jamais retrouvés.

Un violon Stradivarius valant 3,5 millions de dollars
Les violons Stradivarius sont certainement les plus chers du monde ce qui explique qu’ils soient bien protégés. Cependant, en 1995 le “Davidoff Morini Stradivarius” a été volé est n’a jamais été retrouvé, sans doute fait il désormais partie de la collection secrète d’un riche collectionneur fortuné et malhonnête.

300 bouches d’égout qui disparaissent
Environ 300 bouches d’égout ont été volées dans Los Angeles dans les années 1990. On imagine difficilement comment passer inaperçu avec une bouche d’égout lourde et encombrante dans les bras. Et pourtant, avant d’être arrêtés, les voleurs en ont collecté 300 qu’ils revendaient ensuite à des acheteurs de métaux.

Une cloche bouddhiste
Un voleur, sans doute accompagné de plusieurs complices, a réussi à s’emparer d’une d’une cloche de cuivre pesant 1,5 tonne dans un monastère bouddhiste américain sans que personne ne s’en aperçoive. Le voleur n’a été arrêté que quelques années plus tard quand il a essayé de revendre cette cloche ce qui n’a pas manqué d’attirer l’attention

Le Cri d’Edvard Munch
Le Cri d’Edvard Munch est un des tableaux les plus célèbres du monde, aussi on pourrait espérer qu’il est bien protégé dans un musée. Ce qui n’a pas empêché son vol lors d’une attaque à main armée du musée Munch. Le tableau a été récupéré 2 ans plus tard quand les voleurs ont été arrêtés.

Les souliers de Dorothée dans le Magicien d’Oz
L’une des quatre paires de souliers rubis de Judy Garland, qui a incarné Dorothée en 1939 dans le Magicien d’Oz, était exposée dans le musée dédié à l’actrice jusqu’à ce qu’un “fan” les vole en 2005. Elles n’ont jamais réapparu depuis.

La Joconde

La Joconde, le tableau de Mona Lisa peint par Leonard de Vinci est sans doute le tableau le plus célèbre du monde et c’est peut être ce qui motiva Vincenzo Peruggia à le voler. Cet italien travaillait alors au Louvre pour mettre sous verre des tableaux; il en a profité pour voler La Joconde ce dont on ne rendit compte que le lendemain du vol, le 21 août 1911. Le tableau sera retrouvé en Italie en décembre 2013 quand le vendeur essaiera de le revendre à un antiquaire.

La Joconde

Vol d’un requin vivant
On ne sait pas comment les voleurs ont procédé mais ils ont réussi en 2008 à voler un requin vivant.
Ce requin était dans un centre aquatique britannique avec un autre requin dans un but de reproduction. Si la valeur de l’animal n’est pas énorme (3500 euros) on imagine mal des voleurs attrapant un requin puis le portant dans leurs bras jusqu’à leur véhicule avant sans doute de le revendre.

Un spécialiste du vol de squelettes de dinosaures

Eric Prokopi est un américain qui s’est spécialisé dans le vol de squelettes de dinosaures. Il aurait récupéré en Mongolie plusieurs squelettes de dinosaures, dont un cousin du T-Rex le Tarbosaurus bataar. Les squelettes une fois achetés illégalement étaient envoyés aux Etats-Unis dans des containers. Arrêté en 2012, le voleur est maintenant en prison et les squelettes de dinosaures ont été rendus à la Mongolie.

Vol d’un pont de 10 tonnes
C’est en République Tchèque que des voleurs très ingénieux ont sans doute réussi le plus gros vol en terme de poids.
Ils ont fabriqués de faux documents spécifiant qu’un pont ferroviaire en acier de 200 mètres de long et pesant 10 tonnes devait être démonté. Personne n’a trouvé cela étrange, ils ont donc totalement démonté le pont et ses rails de chemin de fer, et ont revendu les 10 tonnes d’acier avant que les autorités ne découvrent l’arnaque et qu’elles soient obligées de construire un nouveau pont à la place de celui qui a disparu.

Le vol de l’Empire State Building

En 2008 le journal américain New York Daily News a réussi à transféré la propriété de cet immeuble estimé à 2 milliards de dollars à une société fantôme, grâce à de faux documents fabriqués par le journal. Il ne s’agissait pas réellement d’un vol mais de démontrer les failles du système et le manque de contrôle des services en charge des enregistrements de propriété. D’ailleurs, dès le lendemain le journal a rendu la propriété de l’Empire State Building à son vrai propriétaire.

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